Le dénouement de l’affaire DGSP-FECOHAND est renvoyé au 14 septembre
Le premier vice-président de la Chambre de conciliation et d’arbitrage du sport (CCAS), Michel Niambi a annoncé le 31 août que l’affaire opposant la section handball de la direction générale de la sécurité présidentielle (DGSP) à la Fédération congolaise de handball (FECOHAND) était reportée sous quinzaine car l’avocat de cette fédération ne s’est pas présenté à l’audience.
«Après avoir constaté l’absence injustifiée de l’avocat de la FECOHAND, nous sommes obligés de renvoyer cette audience sous quinzaine, c’est-à-dire le 14 septembre ; dans l’espoir que ce conseil viendra le plutôt possible nous déposer les documents de son dossier. De même, il lui revient de faire les copies à l’avocat de la partie adverse», a déclaré Michel Niambi.
Pour Maître Éric Yvon Ibouanga, l’avocat de la DGSP, l’absence de son confrère est un manque de considération pour la partie adverse et la CCAS.
«Je suis un peu déçu pour cette absence qui n’honore pas notre corporation et qui dénote d’un manque de considération de la part de cette chambre d’arbitrage destinée à régler les litiges en milieu sportif. Mais ce n’est que partie remise car le 14 septembre nous ferons prévaloir les droits de la DGSP qui a été injustement sanctionnée par la FECOHAND», a-t-il fait savoir.
La DGSP a déposé la plainte à la CCAS en contestation des sanctions que la FECOHAND avait infligées à son équipe féminine de handball, suite à son refus de disputer la finale du championnat national 2018 contre ABO Sport.
Avant cette affaire, une première, opposant Gilbert Kindzesse, le président sortant de la ligue départementale de boxe de Pointe Noire, à la Fédération congolaise de boxe FECOBOXE, a également été renvoyée au 14 septembre car l’avocate de la FECOBOXE a transmis les documents de son dossier séance tenante.