Des donneurs de sang moins nombreux au Congo
Très peu de donneurs de sang se sont présentés le 14 juin, célébrée comme la journée internationale du donneur de sang, dans les centres de santé du Congo. La mobilisation a d’ailleurs été très timide dans les villes du pays. Dans l’ensemble, seulement 30% de la population congolaise réalise l’acte de donneur le sang pour sauver les vies.
Au Centre national de transfusion sanguine (CNTS), le climat est morose. Aucun symbole n’indique l’événement. Pas de grande mobilisation. Devant le CNTS, des hommes et femmes, une vingtaine, en tee-shirt, se préparent à donner bénévolement leur sang. Ce sont les membres de la section congolaise de l’association Freedom Faithnet Global (FFG), qui signifie Libertés de Foi globale.
Créée en 1994, FFG offre non seulement une éducation et formation hyper puissante de haute facture, mais aussi des outils de travail dans l’organisation du business. FFG donne également à tous ses partenaires, un haut développement personnel et la maturité, afin de réussir et de devenir de grands leaders. Une trentaine de membres de Brazzaville, ont procédé au don de sang.
Pour l’un des responsables qui a requis l’anonymat, ce geste rentre dans le cadre des objectifs de FFG, car leur structure promeut le bien-être total de l’homme. Il invite toute personne à faire le don pour sauver des vies anonymes à travers le pays.
Le geste de FFG est à encourager. Car jusque-là, le Congo enregistre 30% de besoins de sang non satisfaits.