Denis Christel Sassou Nguesso dédicace son livre
Le président de la fondation Perspectives d’avenir, Denis Christel Sassou Nguesso, a indiqué le 4 mai à Brazzaville, lors de la dédicace de son livre « Ce que je crois » , qu’il a repris simplement les thématiques qui sont au cœur de l’action qu’il mène au sein de sa fondation depuis quelques années.
Denis Christel Sassou Nguesso a dit clairement que son ouvrage n’est pas un projet de société. « Quand on fait un projet de société on ne parle pas que des sujets que j’ai évoqué. On parle de défense, de sécurité, d’environnement. Et le document s’appelle clairement projet de société. Là, il n’en est pas question », a-t-il fait savoir.
« Cet ouvrage est un recueil d’un ensemble des thématiques sur lesquels j’ai réfléchi et qui touchent en réalité le Congo. Nous y évoquons les questions d’éducation, d’employabilité des jeunes, de formation professionnelle et qualifiante. Nous parlons aussi dans ce livre de la place et du rôle de la femme dans notre société que nous voulons moderne. Nous y évoquons aussi les questions de citoyenneté et d’anti valeurs qui sont au cœur du débat sociétal aujourd’hui. Nous n’avons pas oublié le repli identitaire. En réalité, l’approche qui a été la mienne a été de faire que l’ensemble des préoccupations des congolais soient relevées dans cet opuscule et d’y apporter quelques réponses qui ne sont pas exhaustives, mais il faut bien commencer quelque part », a-t-il indiqué.
Pour le président de la fondation Perspectives d’avenir, on dit souvent que le plus long voyage commence par le premier pas. « Et je pense qu’à travers cet ouvrage, il y a un premier pas qui vient d’être fait », a-t-il souligné.
Denis Christel Sassou Nguesso a précisé que la jeunesse d’aujourd’hui vit avec les défis de son temps. « Les difficultés d’hier ne sont pas celles d’aujourd’hui. Au fur et à mesure qu’une société évolue, elle doit s’adapter aux défis de sa génération et de son époque. Je pense que la jeunesse congolaise aujourd’hui est confrontée à des nouveaux défis auxquels nous devons trouver des solutions. On ne peut pas dire que la génération passée a déformé la jeunesse d’aujourd’hui qui a besoin d’être formaté », a-t-il conclu.
« Ce que je crois » est un opuscule de plus de 54 pages.