Des milliers de délégués participent à l’ouverture du congrès du PCT

Le secrétaire général du Parti congolais du travail (PCT), Pierre Ngolo a indiqué le 27 décembre à Kintélé que le deuxième cinquantenaire du PCT devra être celui du combat soutenu visant à révolutionner l’existence des Congolais.

« Nous avons à nous donner pour préoccupation majeure : comment rendre le PCT plus proche et plus représentatif du peuple, plus conquérant, renforçant sans cesse sa vocation à servir le peuple », a dit Pierre Ngolo à l’ouverture des travaux du 5e congrès ordinaire.

Pour lui, les congolais doivent accéder au bien-être auquel ils aspirent. « C’est de la responsabilité du PCT de porter le peuple congolais à la réalisation de ses rêves d’une société démocratique, développée où il fait bon vivre », a-t-il poursuivi.

Faisant le bilan de son action à la tête du PCT, Pierre Ngolo a fait savoir que le mouvement d’adhésion au Parti impulsé par la campagne spéciale de 2011 avait considérablement fait accroître ses effectifs qui sont passés de 346.127 à 539.173 membres. « On peut soutenir que le PCT a vécu en se situant sur la trajectoire de l’ouverture et de la revitalisation définie par son VIème Congrès extraordinaire, a-t-il conclu.

Le secrétaire à l’administration des finances et du patrimoine de la Force montante congolaise, Stève Arold Oko a souhaité que de ce congrès sorte des instances dirigeantes dynamiques et engagés au travail pour porter haut leur parti.

Le président de la fédération PCT-France, Gabriel Patrick Dion, de son côté a notifié que leur parti devrait prendre la responsabilité de sortir le pays de la crise économique où il est plongé. « Si le Congo marche, c’est à cause du PCT, s’il ne marche pas c’est toujours à cause du PCT », a-t-il souligné.

Le 5e congrès ordinaire sera sanctionné par la mise en place des nouvelles instances dirigeantes qui présideront à ses destinées.

Les instances actuelles sont issues du 6e congrès extraordinaire tenu en juillet 2011.

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