L’ambassadrice de France au Congo Claire BODONYI, a souligné le 28 janvier à Brazzaville que les nouvelles exigences du secteur pétrolier nécessitent aussi que les ressources humaines appelées à œuvrer dans ces entités administratives soient correctement formées.
«Il s’agit ici de pouvoir mettre à disposition dans ce secteur le personnel qui trouvera de l’emploi à la hauteur de l’exigence de l’employeur », a expliqué Claire Bodonyi au terme de sa rencontre avec le ministre des Hydrocarbures Bruno Jean Richard Itoua.
Par ailleurs, plusieurs pistes de solutions ont été épinglées lors de cette rencontre, entre les deux personnalités, parmi lesquelles, l’université de Loango où le Président de la République Dénis Sassou N’Guesso a récemment posé la première pierre. L’objectif est de faire des formations au sein de cette université qui correspondent aux besoins du monde économique.
« Ces curricula ou ces formations doivent pouvoir se fonder sur un répertoire de métier. De quoi le monde économique a besoin pour que les formations que cette université va donner puissent apporter la qualité des enseignements de sorte que ceux qui en sortent trouvent évidemment un emploi à la hauteur des exigences du monde économique », a ajouté Claire Bodony.
Il ressort de cette rencontre, que le secteur pétrolier évolue dans sa technique avec des exigences notamment liées à l’environnement, à la transition énergétique et aux résultats carbones.
En rappelle, les relations économiques entre le Congo et la France dans le secteur pétrolier datent de 1956.