La PLAFENCO dénonce le parrainage des structures fictives
La plateforme des enseignants communautaires du Congo ( plafenco) a dénoncé le 24 novembre à Brazzaville le parrainage des structures fictives et illégitimes par certains cadres du ministère en charge de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’alphabétisation.
Dans une déclaration, ce regroupement s’est dit disposé à travailler avec d’autres structures syndicales conformément à l’article 25 de ses statuts et opte pour l’unification si elle se fait en toute transparence c’est-à-dire de manière orthodoxe en vue de garantir l’intérêt général.
La PLAFENCO a sollicité le ministère de l’Enseignement préscolaire, primaire secondaire et de l’alphabétisation pour sa détermination de mettre la lumière sur cette affaire pour plus de partialité, afin de garantir un bon climat au sein du ministère ; aussi son implication pour le paiement en totalité de la prime de transport des membres de la PLAFENCO dans les départements surtout ceux de Pointe-Noire.
Dans le lot des revendications, la publication des textes restant dans le circuit d’approbation pour le quota 2023, la prise en compte des enseignants communautaires et volontaires de plus de 50 ans d’âge dans le quota de recrutement 2024, la publication et la notification dans les brefs délais du quota de recrutement l’année 2024, décrétée année de la jeunesse par le Président de la République.
La participation à la sélection des dossiers de recrutement du quota des enseignants communautaires au niveau des directions départementales de l’enseignement, la mise en place d’une commission tripartite ministère de l’enseignement, la fonction publique et partenaires sociaux lors du traitement des dossiers de recrutement quota 2024 ainsi que la répartition proportionnelle du quota à la taille de chaque département, font partie des doléances soulevées par la PLAFENCO.