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Le CSLC plaide pour la poursuite de la compagne être citoyen en ligne

Le CSLC plaide pour la poursuite de la compagne être citoyen en ligne

Le président du Conseil supérieur de la liberté de communication, Philippe Mvouo a indiqué le 26 juillet à Brazzaville que la campagne » être citoyen en ligne », lancée le 15 mai, devrait se poursuivre avec le relais des autres institutions afin de poursuivre l’éveil des consciences des populations dans l’utilisation des réseaux sociaux. 

« Nous avons semés. Nous attendons les résultats parce qu’il s’agit d’une éducation, d’un comportement et d’une civilisation. La campagne sue nous avons commencé devrait avoir une fin, mais nous n’allons pas la clôturer. Nous devrons tous la poursuivre, parce que le travail concerne tout le monde. Nous sommes tous concerné par le phénomène qui dénature notre culture, notre société et notre être. Nous attendons que toutes les institutions prennent le relais pour éveiller les consciences vers une utilisation responsable des réseaux sociaux », a dit Philippe Mvouo lors de la cérémonie de restitution.

Philippe Mvouo a exhorté les professionnels de l’information et de la communication à s’impliquer davantage dans l’usage des réseaux sociaux, afin de jouer leur rôle, en donnant une vraie information au public, pour éveiller sa conscience et son intelligence. « Ceci permettra de contrecarrer la désinformation avec ses effets et les fake-news qui ont envahi les réseaux et médias sociaux », a poursuivi, Philippe Mvouo.

Selon le coordonnateur exécutif de la campagne, Joachim Mbandza, après son lancement, le 15, du 20 au 24 mai, 13 délégations du Conseil supérieur de la liberté de communication ont été déployées dans les chefs-lieux de département, pour mener la campagne à travers des actions d’affichage des banderoles, de rencontres et d’échanges avec les autorités et les forces vives locales. « Lors de la mission, les délégués ont sensibilisé les jeunes, les femmes, les journalistes et les activistes des réseaux sociaux, à élever l’esprit de responsabilité dans l’usage des moyens de communication que sont les réseaux sociaux, de combattre le discours de haine et la désinformation dans les médias sociaux », a dit-il dit.