Les acteurs étatiques formés sur l’approche de développement des systèmes de marché
La cheffe de projet de promotion des petites et moyennes entreprises sur l’amélioration du-bien-être social, afin de réduire la surexploitation des animaux sauvages et la destruction des forêts au Congo (USAID CEERC), Sabine Jiekak a indiqué le 17 juillet à Brazzaville, que la formation des acteurs étatiques visait à renforcer leurs capacités sur l’approche de développement des systèmes de marché, pour réduire les menaces pesant sur la biodiversité et les forêts.
« Cet atelier organisé sous la tutelle du ministère de l’économie forestière et animé par un expert international en systèmes de développement des marchés dans les chaînes de valeurs agricoles et agro forestières, vise à renforcer leur capacités des acteurs institutionnels à mieux définir leur rôle dans la création d’un environnement des affaires favorables au développement de ces entreprises durables, d’utiliser l’approche systémique pour identifier les besoins des petits producteurs, les exigences et dynamiques des marchés et des interactions entre différents acteurs et institutions », a fait savoir La cheffe de projet CEERC, lors de la clôture de la formation des acteurs étatiques formés sur l’approche de développement des systèmes de marché .
« L’atelier a été l’occasion de se familiariser et d’analyser les concepts d’économie circulaire et d’économie verte dans le contexte spécifique du Congo pour une économie verte en vue de créer des entreprises vertes rentables à travers des appuis et partenariats techniques et financiers ».
Mondésir Bianbwana s’est dit satisfaite des connaissances acquises au cours de cette formation : « Nous avons appris ce que c’est l’économie circulaire et l’économie verte. A travers cette formation nous sommes outillés pour préserver et conserver les ressources naturelles afin de lutter contre la déforestation et le changement climatique », a-t-elle affirmé.
Financé par l’agence des Etats unies pour le développement international (USAID), cette formation à réunie plus de 50 participants des ministères de l’économie forestière, des petites et moyennes entreprises, de l’agriculture, du plan, de l’environnement, de l’industrie culturelle, ainsi que ceux de l’agence congolaise de normalisation et de la qualité (ACONOQ).