Le ministère de la Fonction publique, du travail et de la sécurité sociale a organisé, le 21 Avril à Brazzaville, un atelier de sensibilisation des gestionnaires des ressources humaines à l’enrôlement à la caisse d’assurance maladie universelle (CAMU), qui permettra de garantir l’accès aux soins de santé de qualité aux assurés des entreprises.
La caisse d’assurance maladie universelle (CAMU) qui est un organe de gestion du Régime d’assurance maladie universelle (RAMU), garantit l’accès aux soins de santé à tous, contribue au développement de l’offre de soins de santé et sauvegarde l’équilibre financier du RAMU, a relevé le directeur de cabinet du ministre d’Etat de la fonction publique, du travail et de la sécurité sociale, Christian Aboké-Ndza.
« L’atelier qui s’ouvre en ce jour vise la sensibilisation des gestionnaires des ressources humaines que vous êtes, sur le processus et le dispositif d’enrôlement des assurés auprès de la caisse d’assurance maladie universelle », a- t-il fait savoir.
« En votre qualité de responsable des ressources humaines de vos entités respectives, vous êtes des interlocuteurs de premier ordre pour la CAMU, dans le processus d’enrôlement des assurés, notamment dans le cadre de l’immatriculation de l’affiliation des personnels de vos entreprises », a renchéri Christian Aboké-Ndza.
Ce processus ainsi décliné témoigne l’engagement du gouvernement, à travers le ministère de la fonction publique, du travail et de la sécurité sociale, à traduire l’ambition et la ferme volonté du Président de la République, Denis Sassou Nguesso à étendre la protection sociale à l’ensemble de la population congolaise. Ceci, dans le but de renforcer la solidarité nationale, par un accès aux soins de santé de qualité à toute la population sur l’ensemble du territoire national.
Au terme de cet atelier, les contributions avisées de ces gestionnaires sont attendues, afin d’améliorer le dispositif, tout en privilégiant le bénéfice que tireront leurs personnels qui, avec l’opérationnalisation de la CAMU, accèderont désormais aux soins de santé sans que les capacités financières n’en constituent un obstacle.