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Les mineures envahissent les dancings et hôtels à Pointe-Noire

Pointe-Noire vit au rythme d’une ville sans loi. La dépravation des mœurs s’installe de plus en plus à Pointe-Noire. Les jeunes filles de 13 à 16 ans se livrent à la prostitution et fréquentent sans être inquiétées les différents hôtels et bars dancings au vu et au su des autorités.

Devenue une mode, la dépravation des mœurs n’inquiète plus personne. En effet, des personnes âgées se réjouissent, sans gène, de fréquenter les bars dancings et hôtels, où elles peuvent avoir des rapports sexuels avec des mineures de 13 à 16 ans.

« C’est triste de vivre des tels spectacles à Pointe-Noire. Je ne sais plus vraiment dans quel pays sommes-nous ! Je ne peux pas comprendre un seul instant, que des grandes personnes s’intéressent aux rapports sexuels avec des filles mineures », s’est indigné Patrick Dibeta, un habitant de Pointe-Noire.

Merveille, âgée à peine de 15 ans, raconte que du fait de la pauvreté de ses parents, elle se livre à cette activité pour se prendre en charge. « C’est une grande sœur du quartier qui m’a parlé de ce bar. Je me prostitue pour me prendre en charge et m’occuper de ma famille », confie-t-elle.

Les propriétaires des hôtels et bars dancing, quant à eux, déclinent toute responsabilité et culpabilisent l’État qui serait incapable d’assurer le minimum aux congolais.

En dépit des plaintes, des voisins, aucune menace ne pèse sur ces bars dancing et hôtels qui continuent de briller dans l’immoralité sans être inquiétés.

A Brazzaville sévit le phénomène « ujana », ces filles mineures et prostituées qui se baladent sans sous vêtements pour mieux séduire les hommes et qui se livrent aux ébats sexuels à ciel ouvert.