L’UE s’engage à soutenir une cohorte de 20 jeunes à travers le projet « Toza Bilenge 2025 »

Ce projet est un parcours d’apprentissage, une aventure humaine et intellectuelle, permettant aux 20 jeunes de la cohorte « Toza Bilenge 2025 » de découvrir le rôle de l’Union Européenne, ses programmes de coopération, ses valeurs et ses priorités. Cela a été souligné le 27 février à Brazzaville par l’Ambassadrice de l’Union Européenne au Congo, Anne Marchal.
Pour la représentante déléguée de l’UE, le projet « Toza Bilenge », autrement dit « nous sommes jeunes », permettra, par l’entremise de ce projet, aux jeunes d’échanger avec les équipes de l’UE et de participer à des activités régionales et internationales.
À travers ce projet, l’objectif de l’UE est de renforcer le partenariat entre l’Union Européenne et la jeunesse congolaise ; de favoriser l’inclusion des jeunes dans les relations ; et de créer une plateforme durable de dialogue et de coopération.
Les profils sélectionnés dans le cadre de ce projet sont attirés, entre autres, par l’environnement, la santé, l’entreprenariat, la technologie numérique, les médias, l’agriculture, les infrastructures et l’éducation. Les thématiques d’intérêt de ces jeunes sont nombreuses, et toutes sont abordées à travers des projets de coopération ou des actions de diplomatie publique de la Délégation de l’UE au Congo. Cela témoigne des multiples centres d’intérêt commun et de nombreuses opportunités de renforcer les interactions avec la jeunesse.
L’un des bénéficiaires du projet « Toza Bilenge 2025 », Rivaldi Okemba, a expliqué que « c’est une occasion pour lui de pouvoir s’exprimer en tant que jeune, mais également de mettre en exergue les actions que je mène au quotidien. Aussi, de bénéficier du réseautage ».
Pour l’attachée chargée de Coopération, droits humains, gouvernance et sécurité, section coopération à l’UE, Marion Reache, les jeunes ont été retenus à l’issue d’un processus rigoureux, parmi sept cents candidatures recueillies dans tout le pays. L’évaluation des candidatures était basée sur des critères comme l’engagement communautaire du candidat et son intérêt en rapport avec les priorités de l’UE.