Le Projet CAB tiendra compte des communautés autochtones installées dans les zones de ses activités, afin de respecter la vision du gouvernement en matière des populations autochtones ainsi que les directives des organisations internationales, dont la Banque mondiale.
De manière plus spécifique, les résultats de l’étude ont révélé que, compte tenu du fait que les zones forestières constituent les milieux de vie des Populations autochtones et qu’il existe une dynamique sociale entre les Populations autochtones et les autres groupes ethniques et les rapports de force dans les activités économiques, l’exécution des activités du Projet CAB pourrait avoir des impacts potentiels d’ordre économique et social sur le plan local. A cet effet, pour atténuer des tels risques, le Projet devra prévoir la mise en place et la gestion d’un dispositif de sécurité pour les équipements et la gestion du flux des populations, en étroite collaboration avec les autorités administratives locales, les chefs traditionnels et les élites locales.
Pour que les activités du projet et les retombées soient aussi bénéfiques aux autochtones riverains des axes retenus, l’étude propose en premier lieu que ces derniers puissent faire partie de la main d’œuvre locale à recruter. Pour cela, les responsables de l’exécution et du suivi du projet doivent tenir compte de l’égalité des revenus, du droit de sécurité sociale et du concept genre. En second lieu, certaines options seront envisagées pour minimiser l’impact des infrastructures au niveau des populations autochtones.
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