« Souvent pour les questions de violences, nous avons des réponses de types juridiques, policiers. A cet atelier les psychologues et les sociologues apporteront les éléments des réponses aux questions de violences, afin de lutter contre la délinquance juvénile dans la sous-région Afrique centrale », a déclaré le coordonnateur du projet de riposte aux violences juvéniles, Omer Massoumou au cours de l’atelier de validation du rapport de riposte aux violences juvéniles.
Les experts, venus du Gabon, Cameroun, Congo, République démocratique du Congo (RDC) en partenariat avec l’Unesco, vont apporter des solutions visant à éradiquer les phénomènes sociaux tels que « bébé noire », « kuluna » et «ujana ».
Après examen et validation du rapport de riposte aux violences juvéniles par le Projet de transformation sociale (Most), celui-ci va être remis aux autorités politiques des différents pays et à l’UNESCO.