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L’ANAC engagée dans la sécurité aérienne au Congo

Le directeur de cabinet du ministre des Transports, de l’aviation civile et de la marine marchande, Louis Ombankoui, a déclaré le 19 décembre, lors du comité de direction de l’Agence nationale de l’aviation civile (ANAC), que la direction générale de cette agence devrait prôner la gestion transparente et la bonne gouvernance des ressources financières. Elle doit également amorcer des reformes structurelles pour sortir le Congo de la liste noire de l’Union Européenne, selon Louis Ombankoui. 

Après débats, les membres du comité de direction de l’Agence nationale de l’aviation civile (ANAC) ont arrêté, en dépenses et en recette, un budget de neuf milliards sept cent cinquante-deux millions cinq cent quarante-cinq mille (9.752.545.000) Francs CFA. Une commission de rédaction a été aussi mise en place pour la rédaction des statuts de l’ANAC, afin de combler le vide juridique qui a perduré au sein de cette agence.

Pour mener à bien les réformes de l’ANAC, Louis Ombankoui compte sur la contribution de chaque agent de cette agence.

« Notre responsabilité collective est entièrement engagée pour faire du Congo un pays sûr et fiable en matière de sécurité aérienne », a-t-il dit.

Le 24e comité de direction a voulu inscrire l’ANAC sur un certain nombre de points, entre autres l’évaluation des délibérations et des recommandations du dernier comité de direction du 23 décembre 2016, l’adoption du budget 2018, l’examen et l’adoption du Statut de l’ANAC.

L’ANAC s’occupe des questions de sûreté et de sécurité aérienne en République du Congo. Actuellement cette agence ne réunit pas les conditions exigées par les agences internationales en matière d’aviation civile.