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L’Allemagne prête à aider la recherche au Congo

L’ambassadeur de l’Allemagne au Congo, Klaus Peto Schick a indiqué le 2 novembre à Brazzaville, à l’issue d’un échange avec le ministre de la Recherche scientifique et de l’innovation technologique, Parfait Aimé Coussoud Mavoungou, que son pays était disposé à aider la recherche scientifique au Congo. Le diplomate allemand a évoque de nombreuses opportunités dans le domaine de la recherche, dont les chercheurs pourraient tirer profit dans le cadre de la coopération entre les deux pays. 

Klaus Peto Schick a souligné qu’avec le ministre congolais de la recherche scientifique, ils ont parlé des possibilités qui existent entre les deux pays pour avoir une recherche scientifique réciproque. « Trouver les moyens pour que le Congo et l’Allemagne travaillent ensemble sur la recherche scientifique», a-t-il précisé.

Pour le diplomate allemand, son pays est disposé à aider le Congo, s’il fait la demande, à mettre de l’ordre dans le secteur de la cartographie en appuyant le Centre de recherche géographique et de la production cartographique (CERGEC). Ce centre qui présente aujourd’hui plusieurs difficultés pour assurer son fonctionnement.

«Si le Congo demande de l’aide de l’Allemagne, je m’efforcerais pour que cette aide arrive sans problème », a-t-il indiqué.

Klaus Peto Schick a aussi soutenu que les deux pays ont déjà élaboré une certaine collaboration sur la recherche scientifique sur les maladies comme la tuberculose, le SIDA et les maladies tropicales. Cette collaboration a été faite avec l’université de Tubigan, en Allemagne.

Pour Klaus Peto Schick, le jumelage entre la ville de Brazzaville et celle de Dresde, en Allemagne, permettra aux chercheurs et étudiants congolais d’approfondir leurs recherches dans ce pays. «Cette ville allemande étant réputée pour ses recherches scientifiques », a-t-il conclu.

La coopération entre les deux pays a permis de mettre en place, un institut d’apprentissage de la langue allemande pour que les chercheurs congolais et étudiants n’éprouvent plus de difficultés pour étudier en Allemagne.