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Le bien-fondé de l’action de l’Etat en mer et dans les eaux continentales au cœur d’échanges

Le bien-fondé de l’action de l’Etat en mer et dans les eaux continentales au cœur d’échanges

Le Secrétaire permanent du comité interministériel de l’action de l’Etat en mer et dans les eaux continentales, Eric Olivier Sébastien Dibas-Franck et une délégation du Bureau du Comité technique transports et logistique du comité national de concertation (Cnc), conduite par son secrétaire permanent du comité national entre le secteur privé et les administrations publiques, Guy Gervais Bouanga, ont eu le 17 novembre à Brazzaville, des échanges d’expériences dans leur domaine respectif.

« C’était un dialogue public-public permettant au Comité national entre le secteur privé et les administrations publiques, de s’approprier les éléments qui doivent informer les Comités techniques du Cnc sur le bien-fondé de l’Action de l’Etat en mer et dans les eaux continentales : AEMEC », a fait savoir Guy Gervais Bouanga à la sortie de l’audience le Secrétaire permanent du comité interministériel de l’action de l’Etat en mer et dans les eaux continentales, Eric Olivier Sébastien Dibas-Franck.

Selon lui, les échanges vont être pérennes et les deux institutions continueront à travailler en symbiose. « Nous avons besoin d’eux comme ressources dans nos conseils, nos travaux et vice versa », a déclaré Guy Gervais Bouanga. A cette occasion, il a évoqué la complexité observée dans les secteurs des transports et celui qui régit les eaux continentales.

Le Secrétariat permanent du comité interministériel de l’action de l’Etat en mer et dans les eaux continentales et le Secrétariat du comité national entre le secteur privé et les administrations publiques, sont deux structures qui dépendent de la Primature. Elles gèrent respectivement les principes des eaux maritimes et continentales, et le dialogue public privé.

Eric Olivier Sébastien Dibas-Franck a remis à Guy Gervais Bouanga les textes relatifs à l’Action de l’Etat en mer et dans les eaux continentales, qui a, par ailleurs, invité les congolais à s’approprier dudit concept.