Les Etats membres de Smart Africa appelés à plus de compétitivité
Le directeur général du Conseil des ministres en charge des technologies de l’information et de la communication (TIC) de Smart Africa Lacina Koné a exhorté le 25 février à Brazzaville tous les États membres à proposer des idées en vue la mise en œuvre de la prochaine stratégie 2023-2025 qui servira de boussole pour l’atteinte des objectifs assignés à ce partenariat des pays africains.
« Depuis notre dernière rencontre, la plupart de nos projets sont en phase de mise en œuvre et cela produit d’importants impacts chez la plupart de nos États membres. Il s’agit des avancées réalisées dans les projets suivants : data center écologique, la connectivité des communautés, l’achat en gros des capacités d’internet et sur les directives de la protection de la confidentialité des données de tous les États membres », a fait savoir le directeur général de Smart Africa au 5ᵉ conseil des états membres de Smart Africa.
« Pour cette réunion, j’attends de vous des idées pertinentes pour la mise en œuvre de la nouvelle stratégie de smart Africa 2023-2025 qui sera développée dans les mois prochains afin d’atteindre nos objectifs », a renchéri Lacina Koné.
Pour le Président de l’alliance Smart Africa, ministre congolais des Postes des télécommunications et de l’économie numérique Léon juste Ibombo, les avancées réalisées dans plusieurs projets à l’instar du data center doivent se poursuivre pour accélérer la transformation digitale des différents États membres.
Pour le ministre des Postes des télécommunications et de l’économie numérique, Smart Africa, est un levier important du développement socio-économique.
Créé en 2013, Smart Africa est un partenariat qui compte 32 États membres et vise à mettre la transformation digitale au cœur du développement économique des pays Africains.