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Les inspecteurs de l’aviation civile suivent une formation sur la sécurité des aéroports

Les inspecteurs de l’aviation civile suivent une formation sur la sécurité des aéroports

Le directeur général de l’agence nationale de l’aviation civile (ANAC), Florent Serge Dzota, a indiqué le 27 mai à  Brazzaville, que la formation des inspecteurs et cadres de l’aviation civile, sur la sécurité des aéroports, allait permettre à garantir une meilleure protection des passagers, du personnel et des aéroports.

« Nos institutions communautaires de l’aviation civile souhaitent adopter une approche proactive, afin de garantir une meilleure protection des passagers, du personnel et des aéroports, c’est la raison pour laquelle, il est essentiel de mettre en œuvre un système de gestion de sécurité solide, en dotant les acteurs clés des équipements performants et une coordination étroite », a déclaré le Directeur général de l’agence nationale de l’aviation civile (ANAC), Florent Serge Dzota.

Le directeur général adjoint de l’ANAC Marcellus Boniface Bongho, a quant à lui, fait savoir qu’un certain nombre de formations triennales sera déroulé au niveau de Pointe-Noire et Ollombo, pour relever le niveau des acteurs de l’aviation civile.

Pour le Directeur général de l’Agence pour la supervision de la sécurité aérienne en Afrique centrale (ASSA-AC) Eugène Apombi, cette formation organisée dans le cadre du projet d’appui au secteur aérien en Afrique du centre et de l’ouest, permet de mieux gérer les systèmes d’exploitation des aéroports : « Tous les aéroports aujourd’hui, doit pour le maintien de ces capacités d’exploitation en matière de sécurité aérienne avoir un système de gestion de la sécurité performante, et le rôle de l’autorité de l’aviation civile c’est de veiller à ce que ce système soit documenter au sein des exploitants aéroportuaires et qu’il soit mise en œuvre de façon effective », a-t-il dit .

Cette formation de 8 jours a été financée par la Banque africaine de développement (BAD) et la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC), avec le soutien de la Banque de développement des Etats de l’Afrique centrale (BDEAC), ce grâce au fonds de développement communautaire.