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Les partenaires privés appelés à investir dans le secteur de l’économie fluviale

Le ministre de l’Economie fluviale et des voies navigables, Guy Georges M’backa a encouragé le 15 avril à Brazzaville, les partenaires privés à investir dans ce secteur à travers les projets jugés prioritaires, afin de booster ce domaine pour en faire un véritable vecteur de croissance et permettre au Congo de retrouver sa vocation de pays de transit dans la sous-région.

« La vision que nous avons de l’économie fluviale et des voies navigables, est de faire de ce secteur d’activité un levier solide de l’économie nationale. Cette préoccupation essentielle rejoint la volonté du Président de la République, de faire de la navigation fluviale un maillon efficace de la chaîne de transport, afin qu’elle puisse contribuer de manière significative au développement économique du pays », a indiqué le ministre Guy Georges M’backa à l’occasion du protocole d’accord entre le gouvernement et la société des travaux et construction marines.

Ce rituel, a-t- il poursuivi est l’aboutissement d’une longue série d’échanges et de concertations entre la société des travaux et constructions marines et le ministère de l’Economie fluviale et des voies navigables, est un évènement très important, parce qu’il permet de formaliser une collaboration entre les deux parties.

Guy Geoorges M’backa a souligné que sa vision est de faire de ce secteur d’activité un levier solide de l’économie nationale, ce, conformément à la volonté du Chef de l’Etat, celle de faire de la navigation fluviale un maillon efficace de la chaîne de transport, afin qu’elle puisse contribuer de manière significative au développement économique du pays.

Le gérant de la société des Travaux et construction marines, Walid Ghorbal a pour sa part indiqué que ce partenariat a été fait dans le cadre des accords sud-sud, c’est un aussi un partenariat qui a été établi sur l’accord du Partenariat public-privé. Ce dernier permet à la partie publique donc à l’acheteur public de solliciter l’assistance de la partie privée, connue pour être plus flexible, plus rapide à réaliser sur le terrain les objectifs que le ministère voudrait bien nous indiquer.

« Il y a encore des visites et du travail à faire mais je pense plus à même à désigner les objectifs, c’est le ministre qui connaît mieux que nous les besoins réels de la société congolaise et du commerce congolais sur les voies navigables »,a- t-il ajouté.