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L’innovation technique signe trois accords de partenariat

Le directeur  général de l’Innovation technique, Pascal Diakoundila, a affirmé, le 21 décembre de à Brazzaville, lors de la signature des trois accords de partenariat avec le groupe culturel et sportif (CAMIE), l’association congolaise des inventeurs et innovateurs et la société les doigts verts Congo, que sa direction s’investit dans la recherche des solutions pour la mise en valeur des inventeurs et innovateurs congolais.

Pascal Diakoundila a souligné que les accords de partenariat ont pour objectif de définir un cadre réglementaire entre les signataires afin de promouvoir et développer une coopération technique et scientifique. Cette activité vise à contribuer à la promotion et à la valorisation de l’inventivité congolaise.

« Ces accords de partenariat permettront l’ouverture des portes qui jusque-là demeuraient  closes et apporteront une valeur ajoutée dans le combat contre la pauvreté et la misère », a-t-il précisé.

Les trois groupes d’innovateurs qui ont signé les accords avec la direction générale de l’innovation technique, sous le regard du ministre de la Recherche scientifique et de l’innovation technologique, Martin Aimé Parfait Coussoud Mavoungou, ont été reconnus, selon  Pascal Diakoundila, porteurs d’idées novatrices susceptibles de promouvoir l’accompagnement du Congo à la diversification de l’économie. « Etant entendu que l’innovation est reconnue comme un des leviers sûrs du développement », a-t-il indiqué.

L’association congolaise des inventaires et innovateurs a l’ambition de fédérer les énergies de concert avec les autres inventeurs ou groupe d’inventeurs aux fins de la valorisation de leurs œuvres. De son côté le groupe culturel et sportif CAMIE plaide pour la mise en place de deux organe panafricains : le centre africain pour la promotion des inventions (CAPI) et le fonds national pour la promotion des inventions (FONAPI) et la société les doigts verts Congo bâtit son expertise autour des composantes sur l’accompagnement des projets agricoles, la production et la commercialisation des semences, d’aliment de bétail et la gestion d’un laboratoire d’analyse des sols ainsi que la vulgarisation de l’information agricole.

Tous les responsables de ces structures ont souhaité qu’avec l’apport du ministère de la recherche et de l’innovation technologique, ils pourront bénéficier des moyens financiers adéquats, pour faire émerger leurs inventions. « Mettre en œuvre toutes nos inventions demande les moyens financiers considérables. Nous pensons que ces partenariats nous seront utiles », a souhaité Adjel Biyo, membre de l’association congolaise des inventeurs et innovateurs.