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Marcel Ngangono lance le concept  »j’aime Ouenzé au sens propre »

L’administrateur maire de Ouenze, 5e arrondissement de Brazzaville, Marcel Nganongo a indiqué le 5 janvier, lors d’une communication face à ces administrés que le concept  »j’aime Ouenzé au sens propre » était un créneau de citoyenneté qui engage la population de cet arrondissement et les services municipaux à reprendre avec les opérations populaires de salubrité ayant ont jadis fait la réputation de Ouenzé.

« Nous lançons ce jour le concept  »j’aime Ouenzé au sens propre » pour assainir notre environnement qui est dans une insalubrité notoire à cause des difficultés que traverse Averda. C’est une responsabilité citoyenne. Nous faisons donc un plaidoyer auprès des autorités compétentes pour un accompagnement. Les partenaires aussi sont attendus dans cette solidarité, car même dans son fonctionnement normal, Averda qui fait un bon travail ne passe que dans les grandes artères », a précisé Marcel Nganongo.

Lors de cette communication, l’administrateur maire de Ouenzé a annoncé une lutte acharnée contre l’incivisme, tant au niveau des services municipaux qu’au niveau des artères publiques.

« Au agents véreux qui persistent dans les trafics frauduleux des actes d’Etat civil nous préconisons une répression avec des sanctions sévères pour ceux qui seront pris la main dans le sac. Concernant les garages, parkings et autres activités qui occupent anarchiquement la voie publique, avec l’aide de la force publique, nous lancerons sous peu une opération de déguerpissement », a poursuivi le maire du 5e arrondissement.

Concernant les victimes du sinistre du 4 mars 2012, Marcel Nganongo a appelé les chefs des quartiers à apporter un message d’espoir concernant le dénouement sur les allocations attendues par la population sinistrée.

« Le gouvernement a commencé à régler cette situation qui concerne plusieurs concitoyens de notre arrondissement. Le milliard que le gouvernement a décaissé en fin de l’année 2021 et les 6 milliards promis pour cette année 2022 ne représentent certes pas grand-chose sur les 233 milliards qui resteront, mais c’est déjà la preuve que le gouvernement se préoccupe de cette situation. Les chefs des quartiers ont donc ce devoir d’apporter ce message d’espoir à la population », a-t-il conclu.