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Rosalie Matondo engagée dans la gestion des ressources naturelles

La ministre  congolaise de l’Environnement  Rosalie Matondo a plaidé récemment lors d’un voyage de travail à Luanda, en Angola, pour un grand engagement dans la gestion et le contrôle des ressources naturelles, parce que, selon elle, l’action constante de l’homme sur ces ressources représente une menace pour la biodiversité.

Ce plaidoyer a été fait au cours  d’une conférence  conjointe avec son homologue  angolaise dans le cadre de la semaine nationale de l’environnement, commémorée sous le thème  « L’éducation en matière de conservation pour garantir la durabilité ».

Rosalie Matondo soutient que les questions de braconnage, l’initiative Mayombe, les changements et l’éducation environnementale ont également besoin des grands efforts pour la préservation des  ressources naturelles et l’intégration des communautés.

Elle a souligné que ce qui se fait sur le continent, c’est l’exploitation des ressources naturelles non contrôlées, qui, à son avis, crée une incertitude en termes de gestion et de préservation de l’environnement.

La ministre congolaise a, toutefois, reconnu le grand travail que fait l’Angola pour l’environnement et l’intégration des communautés. C’est pourquoi elle estime que la coopération pourrait aider son pays à adopter des modèles qui peuvent servir dans divers secteurs.

Selon elle, il faudrait profiter des expériences de ses homologues pour un échange qui valorise davantage  les ressources naturelles et s’engage dans le surgissement du secteur dans divers  domaines de la biodiversité, ajoutant que l’on devait créer des mécanismes pour signer un protocole d’accord avec ces trois pays.

Les participants à cette rencontre ont souligné la nécessité du raffermissement de la coopération entre l’Angola, le Congo, le Maroc et le Portugal, pour améliorer la performance des industries dans le domaine des forêts.

Pour la ministre  angolaise de l’environnement, « il est   important que les quatre  pays puissent   s’échanger mutuellement les expériences dans l’exploitation durable de la flore et la faune, l’utilisation de l’eau et d’autres ressources ».