L’UNESCO entend soutenir la recherche océanographique au Congo
Le ministre de la Recherche scientifique et de l’innovation technologique, Martin Parfait Aimé Coussoud-Mavoungou, a échangé le 27 septembre à Brazzaville avec la représentante de l’UNESCO au Congo Ana Elisia de Santana Afonso sur le soutien multiforme que cette institution souhaite apporter faveur des projets inhérents à la recherche technologique et océanographique au Congo.
« Avec le ministre de la Recherche scientifique, nous avons discuté sur le soutien de l’UNESCO au profit du Centre de recherche et d’initiation des projets technologiques (CRIPT) et l’Institut de recherche en sciences exactes et naturelles. Il est question pour nous d’accompagner le gouvernement congolais dans la recherche technologique et l’océanographie », a déclaré la représentante de L’UNESCO au Congo.
Pour le directeur général du CRIPT, Michel Gadet Dzondo, le soutien de l’UNESCO, un des partenaires les plus sûrs du ministère de la Recherche scientifique, est multiforme. Il concerne l’aide financière, matérielle, sur des projets touchant aussi bien aux travaux opérationnels, c’est-à-dire des projets de terrain, que ceux concernant les mémoires et thèses de la recherche proprement dite.
« L’océanographie est un domaine qui tient à cœur l’UNESCO qui a une agence océanographique intergouvernementale. Leurs experts pourront dans le cadre du retrait de la Côte océanique du Congo nous apporter la formation nécessaire pour faire face à ce problème crucial », a expliqué Clobite Bouka Biona, le DG de l’IRSEN.
