Vers la mise sur pied de classe préparatoire pour les études en France
Le directeur de recrutement international de l’Université catholique de l’ouest (UCO), Jean Robin, a souligné le 11 octobre à Brazzaville, que l’entretien avec le ministre de l’Enseignement technique et professionnel, Ghislain Thierry Maguessa Ebome visait la mise en place d’une classe préparatoire, au profit des étudiants congolais désireux de poursuivre leurs études supérieures en France.
« Dans le cadre de la mobilité des étudiants, nous aidons les jeunes congolais qui envisagent de poursuivre leurs études supérieures en France à venir rejoindre nos institutions universitaires. Nous avons échangé avec le ministre de l’enseignement technique et professionnel sur les possibilités de mettre en place une année préparatoire aux études supérieures en France, pour permettre aux bacheliers d’atteindre le niveau requis, et la sensibilité culturelle nécessaire à la bonne intégration dans l’enseignement supérieur à l’étranger », a déclaré le directeur de recrutement international de l’université catholique de l’Ouest, Jean Robin, lors de l’audience avec le ministre de l’enseignement technique et professionnel .
Le ministre de l’enseignement technique et professionnel Ghislain Thierry Maguessa Ebome a également reçu, le directeur de la société Italy Construction, Luca Fazio spécialisée en couture. Ces derniers ont échangé sur le partenariat axé sur la formation des enseignants en coupe et couture.
« Nous avons parlé d’un projet de renforcement des capacités des professeurs de l’enseignement technique et professionnel dans le domaine de couture pendant 4 ans. Pour l’effectivité de la formation qui débute le 12 octobre 2022, nous avons fait venir un couturier professionnel, Roberto Ruzzotti de la société Sartoria Acoua Di Maré d’Italie », a fait savoir le directeur de la société Italy construction Luca Fazio, lors de l’audience.
« Pour la bonne collaboration, nous avons ensemble étudié la possibilité de faire venir le matériel de couture au Congo et regardé dans quelle mesure envoyer les jeunes en formation en Italie pendant 5 à 6 mois », a-t-il conclu.
